[ Il suffisait d'un rien. Une fois. Une lettre. ]
Parfois, on ne voit pas la détresse des gens. Toutes ces mots qui sentent la mort à plein nez. On n'veut tout simplement pas y croire, tellement on aime la personne dont la bouche débite ces maux. Tellement on se sent impuissant face à ça. Tellement on ne peut pas imaginer çà. Et puis, il suffit d'une fois, une fois pour que tout bascule. Une fois, pour qu'il se sente capable de le faire, une fois pour qu'il puisse écrire sa douleur avec des mots. La mort écrite.
Tout aurait pu être différent. Un ras-le bol de tout. Il suffisait juste de çà.
Renan Luce :
Y'a peut-être rien à dire dans ces cas là,
je veux seulement être là pour toi.
Je sais que ce n'est pas facile, soit fort.
Je t'aime.