Jours-Etranges

Non, Je n'suis pas un Ange.

Mardi 12 juin 2007 à 18:51

Jeux d'enfants.
Pour gagner ce jeu, il faut une jolie boîte, une jolie copine, et le reste on s'en fout…

" Sacrée Sophie, le jeu avait repris sur les chapeaux de roue. Du bonheur à l'état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C'était mieux que tout.
Mieux que la drogue, mieux que l'héro, mieux que la dope, coke, crack, fix, joint, shit, shoot, snif, pét', ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyole, buvard, acide, LSD, extasy.Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l'intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d'Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d'Abbey Road, les CD d'Hendrix, le nouveau p'tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le space-mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du dalaï-lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie…
"

Merci Vin's, J'ai envie de le revoir =).
Zazie-La vie en Rose : LA !

Samedi 9 juin 2007 à 16:14

" C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,

[...]



Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible. "

[La séquence nostalgie a été mise à jour, au environ de la page 4 si je n'm'abuse ^^]

Vendredi 27 avril 2007 à 13:24

J'ai fait un rêve étrange, je pense même qu'on pourrait dire Cauchemar. C'était un endroit qui m'était bien connu, ma maison, mon jardin. Au début, je ne comprenais pas trop ce qui se passait, on était dans la cave, des soldats déplaçaient tout, ils s'installaient. C'était la guerre. Je discutais avec l'un d'entre eux, il avait le visage creux, cerné et un casque sur la tête. Y'a plus d'humanité hein, que je disais, dis hein. Il me tapotta l'épaule montrant son air compatissant, m'avait-il au moins écouté. Et puis, il y avait ce nain, une salopette bleue, une chemise blanche et sa casquette à la gavroche en jeans, J'allai le voir, il me sourit, je le lui rendit. Je lui demandais comment il s'appelait, il mit bien 3 minutes à me répondre, non ne croyez pas que c'était un attardé, il était juste timide et je le compris par la suite, Il s'appelait Gaston. On discuta un moment, son regard enfantin qu'il portait sur le monde me réjouie, je lui promis de revenir le voir ce soir. Je remontais vers la terrasse, il y avait deux boys d'une treizaine d'année qui jouaient, le visage et les mains sales. L'un d'eux faisait rebondir une grenade dans sa main droite. Je lui criait d'arrêter ses conneries s'il voulait pas finir en chair à paté et rentrais dans  la cuisine, il me lança un bref  " Connasse " et jetta la grenade dégoupillée dans la cuisine, Tata et moi on s'accroupit, elle n'avait pas explosé, on criait a Max de la jeter dehors et je n'sais pour quelle raison il la jetta contre la fenetre, c'était trop tard elle explosa, heureusement ça ne fit pas un énorme Boum auquel on s'attendait, on y rechappa avec quelques brûlures, tandis que le gamin se pris la raclée du siècle par le capitaine.
Il y avait des amis à moi, et toute ma famille, je ne savais pas ce qu'ils foutaient là. JF se prenait pour un pilote de chasse et courrait partout dans la maison en faisant le bruit de l'avion avec son casque et son uniforme. Mathilde avait revetu un espèce d'habit de bonne et passait son temps à nettoyer la baraque qui était plus que sale, en rouspétant dès qu'on posait nos pieds pleins de bouillasse sur le carrelage. Mama elle, chaque soir revetait une robe de soirée noir et paillettée afin d'amuser les soldats, elle dansait et chantait. Elle se croyait à Broadway mais tout le monde l'admirait. Fabrice, avait ramené sa collection de motos et m'appris à en faire, il disait que j'en aurait peut-être besoin. Papa, et les 2 autres mononcles fumaient leur clopes assis sur le mur. La maison était un grand débarras, les soldats déplaçaient tous les objets, ils établissaient leur quartier général. Ma chambre, je voulais pas qu'ils y touchent, alors je suis montée, pris un grand carton et y mis tout ce à quoi je tenait, mes photos, mes lettres, mes cds, quelques breloques, j'y rangais avec amertume tout ce qui touchait de près ou de loin à mes amis.
Il y eut des explosions, on descendit à toute vitesse voir ce qui se passait, la guerre commançait, les avions filaient à toute allure dans le ciel et les camions remplis de soldats partaient au front, nos quelques amis qui y partaient nous firent signe, le coeur plein de tristesse. Nos larmes coulèrent mais séchèrent vite, il fallait nous activer. On aida les soldats à préparer la défense de la maison, je cherchait Gaston des yeux, Je ne le voyais pas. Les soldats nous ordonnèrent d'aller dormir, demain serait une longue journée, j'avais du mal à dormir, je n'avais pas tenu ma promesse d'aller revoir Gaston.

Le lendemain je me reveillais, le soleil était à peine levé, je courru à la cave voir Gaston, il n'y était pas, je demandais partout après lui, on ne l'avait pas vu, je pleurais pourvu qu'on ne l'ai pas envoyé la-bas ! Un prêtre m'arreta lorsque je tentais de sortir de la cave. Mon enfant dit-il, je le coupais net : Vous, ne venez pas me saouler avec votre Dieu, ça fait longtemps que je n'y crois plus et s'il existait on en serait pas là ! Il me regarda les yeux ecarquillés, je continuai avec un "Z'avez pas vu Gaston siouplé " le voix tremblante et les larmes coulant de plus belles. Il rit et me dit de ne pas m'inquiéter qu'il l'avait envoyé au village faire une course, il serait de retour ce soir. Aucun souvenir de la journée, juste que j'engueulait Max qui jouait à Tarzan avec le lustre. Le soir arriva et je passais la nuit avec Gaston, on regardait les étoiles et on chantait des chansons qui faisait rire que nous. Et puis il y eu des tonnes des bombardements et puis plus rien.

Je me réveillais.

C'est un peu idiot de raconter ça, Je ne vois même pas l'intérêt !
Alles Hop, ça c'est fait ^^

Mercredi 11 avril 2007 à 20:20

 

J'aime Indochine et J'vous broute ^^.

"Si demain dans ta rue, Si demain dans ta ville on te montre du doigt parce que t'as les cheveux comme ça, parce que tu t'habille comme ça, dis leurs, dis leurs que ce sont des pervers"

_Nicola Sirkis_

Samedi 7 avril 2007 à 17:27

Laissez-moi vous murmurer quelque chose à l'oreille, écoutez-moi, approchez-vous... Je vous aime.


"Amis pour la vie !". Je n'sais pas, Je n'sais pas si au fond cette phrase a un sens. Les amis ne sont pas là bien longtemps au fond. Tu te souviens encore de ceux du primaire ? du collège ? du centre ? des colos ? On se jure, On s'aime, On se dés-aime, On s'oublie, On se panse, On oublie, On continue la vie, On rencontre, On perd, On retrouve, On rit, On danse, On pleure, On joue, Et parfois on se rappelle de tout ça...

Il y les amis, ceux qu'on sait toujours là pour nous, il y a ceux qui restent et qui partent, ceux qui nous blessent, ceux qui nous quittent, ceux qui sont là quand on va bien et qui partent quand tout va mal, ceux qui nous oublie, ceux qui nous aime, ceux qui nous aime plus, ceux qui font semblant de ne pas nous reconnaître, ceux qui nous jugent, ce qui nous cassent, ceux qui ont changés, ceux avec qui même avec le temps rien ne change, ceux qu'on est sûr de revoir, ceux qu'on ne reverra pas, ceux qu'on ne veut pas quitter, ceux qu'on arrive pas à retenir...

Parce que l'Amitié ne tient qu'à un fil et qu'il finira toujours par se briser.

Profitons du temps qu'il nous reste, de celui qui nous échappe.

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